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Congrès UMP: "un show à la Chirac mâtiné de Berlusconi" (Ayrault)

Jean-Marc Ayrault, président du groupe PS à l'Assemblée nationale, a affirmé mardi que le "show à la Chirac mâtiné de Berlusconi" de Nicolas Sarkozy lors du congrès UMP porte de Versailles dimanche "n'impressionnait pas" le PS.

"Ce n'est pas une bonne méthode. Le show Chirac mâtiné de Berlusconi ne nous a pas impressionnés", a dit M. Ayrault lors d'un point de presse à l'issue de la réunion du groupe PS à laquelle participaient la candidate à la présidentielle, Ségolène Royal, et le premier secrétaire du PS, François Hollande.

Georges Frêche annonce sa "mise en congé" du PS pour "ne pas gêner" Royal

Le président socialiste de la région Languedoc-Roussillon Georges Frêche a annoncé mardi à Montpellier qu'il se mettait "en congé" du Parti socialiste afin de "ne pas gêner" la campagne de Ségolène Royal dont il "souhaite ardemment" la victoire.

Selon son entourage, M. Frêche a annoncé, dans un courrier envoyé à François Hollande, qu'il se "mettait en congé" du PS "jusqu'après l'élection présidentielle", afin de "ne pas gêner la campagne de Ségolène Royal" qui mène "un combat difficile".

Société civile la SAPINIERE : Le couple Hollande-Royal paie l’ISF

Le couple Royal a fait, aujourd’hui, son coming out, par voie de presse, en annonçant qu’il paie l’ISF. Cette déclaration fait suite au débat qui s’était installé sur internet sur le patrimoine de Ségolène et François et sur les raisons qui les avaient poussé à créer une SCI pour gérer leurs biens (plusieurs maisons et appartements). Ce procédé n’étant pas habituel.

Cette révélation a du être difficile pour François Hollande, comment vivre en paix et s’accepter quand on avoue détester les riches alors même que l’on fait partie soi-même de cette catégorie. Est-ce cette schizophrénie qui explique son malaise quant à la politique fiscale à mener et le pousse à vouloir augmenter et augmenter encore les impôts ?

Les députés examinent la réforme du statut pénal du chef de l'Etat

La réforme du statut pénal du chef de l'Etat, qui est examinée mardi à l'Assemblée, a fait l'objet d'un consensus entre l'UMP et le PS sur une version amendée pour éviter les "coups politiques" sans toutefois parvenir à éteindre toutes les critiques à l'UMP et à l'UDF.

Robert Badinter, ancien garde des Sceaux PS, a estimé à la fois "inutile" et "dangereuse" la réforme du statut pénal du chef de l'Etat, examinée mardi à l'Assemblée nationale.