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21 mai 2007

Commentaires

Teo Toriatte

Le nouveau parti formé par les UDF ralliés à Nicolas Sarkozy autour d’Hervé Morin, ministre de la Défense, est marqué dès sa naissance par des méthodes dites des «Hauts-de-Seine». En effet, Hervé Morin et son équipe, après avoir prêté allégeance au roi de la droite décomplexée, vont présenter des figurants aux législatives.

Un ensemble d’anciens collaborateurs de l’ex-groupe UDF à l’Assemblée nationale ont été recrutés, pourquoi pas, on ne peut pas nier les qualités de certains d’entre eux. Mais ils ne représentent que la face visible de l’iceberg ! A la liste s’ajoutent des secrétaires ; les chauffeurs ont même été enrôlés ! Les familles des candidats occupent une place importante également : épouse, frère, cousins sont aussi de la partie. On retrouve, par exemple, quatre membres de la famille d’Hervé Morin.

Pourquoi de telles méthodes ? La première raison venant à l’esprit est de chercher à affaiblir sur le terrain le MoDem de François Bayrou. C’est sans doute une raison non négligeable mais peut-être pas la principale. En fait, leur véritable motivation relève de la cuisine financière. En effet, d’après les règles du financement public des partis, une voix recueillie au premier tour des législatives vaut au minimum 1,66 euros par an pendant cinq ans, à condition d’avoir passé la barre des 1% dans cinquante circonscriptions. Cette hypothèse étant largement envisageable par le PSLE, la course au jackpot a donc commencé !

Cette méthode est bien connue du parti d’extrême droite de Bruno Mégret, son bras droit ayant expliqué récemment qu’une candidature leur coûtait 2000 € mais que si leur candidat réalisait plus de 1%, celui-ci « rentabilise » l’investissement en seulement deux ans.

Il est dommage de voir une telle démarche d’un groupe qui se disait libre il y a encore peu de temps, puis qui avait choisi le ralliement. Avec ces candidatures du PSLE, une nouvelle étape est franchie...

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