janvier 2008

lun. mar. mer. jeu. ven. sam. dim.
  1 2 3 4 5 6
7 8 9 10 11 12 13
14 15 16 17 18 19 20
21 22 23 24 25 26 27
28 29 30 31      

Evènements à venir

  • Agenda en construction...

Le site de la Fédération

Faites un don

Bannières

Sondages

  • 61054
    Etes-vous pour ou contre la reforme des régimes spéciaux ?
    Pour
    Contre



    résultats »

  • 48734
    Êtes-vous favorable à l'utilisation de machines à voter électroniques lors des élections ?
    oui
    non



    résultats »

  • 47529
    Que pensez-vous de ce blog ?
    Très bon
    Bon
    Moyen
    Médiocre
    Mauvais
    Peux mieux faire
    Inutile



    résultats »
    sondages

Ma Présence en ligne

Blog powered by Typepad

« Ségolène et les Talibans : une nouvelle approximation ! | Accueil | Visite dans les usines et mines de Metz »

18 avril 2007

Commentaires

Simone RIGNAULT

UNE CERTAINE IDEE DE LA FRANCE

Les temps sont à l’incantation : chacun d’entre nous lève les yeux vers ceux, celles qui, aspirant à la magistrature suprême, prétendent faire notre bonheur.

D’eux, d’elles, nous attendons, par un effet surnaturel, la solution à tous nos maux. Car, au-delà des grands problèmes qui nous préoccupent légitimement : chômage, sécurité, baisse du pouvoir d’achat, logement, retraites … ce sont nos petites misères quotidiennes et individuelles qui exigent d’être soulagées. Mesdames, Messieurs les candidats, que ferez-vous pour moi ? Pour moi qui … et suivent toutes les revendications catégorielles et personnelles qui s’expriment à longueur d’antennes.

Est-il encore temps d’oser se souvenir que la somme des intérêts particuliers n’a jamais représenté l’intérêt général et qu’au-delà des Français il y a la France dans son histoire, dans sa culture, dans son rayonnement 

Parce que je pense à la France, à la place qu’elle peut et doit occuper sur la scène internationale

Parce que je pense à l’autorité dont doit faire preuve la France dans la défense de ses intérêts, intérêts dont dépend le sort de chacun d’entre nous*

Parce que j’ai cette « certaine idée de la France » qui doit guider nos choix au-delà des petits réflexes égoïstes

Parce que je veux pour mon pays le meilleur,

Je voterai Nicolas SARKOZY !

Jean Pierre SOISSON

Une élection à quatre tours

L’élection présidentielle et les élections législatives, surtout depuis l’instauration du quinquennat, forment un tout.

 Michel Debré définissait ainsi en 1958 les institutions de la Ve République : « un chef de l’Etat et un Parlement séparés, encadrant un gouvernement issu du premier et responsable devant le second ».

 Elire un président de la République ne suffit pas à engager une politique. Il faut que le président élu en mai dispose en juin d’une majorité à l’Assemblée nationale pour mettre en œuvre son programme ; si Nicolas Sarkozy ou Ségolène Royal étaient élus, je pense que tous deux trouveraient une majorité, Sarkozy de droite et du centre, Royal de gauche et d’extrême gauche, qui leur permettrait de conduire une action politique.

Mais si François Bayrou devait être élu, il ne trouverait pas de majorité à l’Assemblée. Son élection risquerait fort d’entraîner le pays dans une crise grave, car il ne pourrait pas – en quelques semaines – modifier le mode de scrutin pour les élections législatives et introduire la représentation proportionnelle.
 
On entrerait alors dans un « schéma à l’italienne » avec une majorité où il faut trouver des compromis en permanence. « A l’italienne » et non « à l’allemande », comme le souhaiterait François Bayrou car, en Allemagne, il n’y a pas de parti centriste.  La droite et la gauche, parce que ni l’une ni l’autre n’avait gagné les élections, ont décidé de gouverner ensemble. Et la « grande coalition » qui résulte de leur accord est incapable aujourd’hui d’appliquer un programme cohérent : l’Allemagne vient d’assister à l’échec retentissant de la réforme - pourtant nécessaire - de l’assurance maladie. C’est le « mirage du compromis à l’allemande », selon l’analyse du professeur Enderlein dans Le Monde du 14 avril dernier. A l’approche des élections, les deux partis affichent des options contradictoires, utilisant toutes les possibilités pour affaiblir « l’adversaire-partenaire ». Ce n’est pas un bon système. Si M. Bayrou rêve d’un « schéma à l’allemande », il doit savoir que, de toute façon, ce serait sans lui ! 

Beaucoup en France attendent le changement, mais ils doivent tenir compte dans leur raisonnement des élections législatives qui donneront – ou ne donneront pas – au président élu la majorité nécessaire pour conduire un tel changement. 

Oui, les prochaines élections se joueront à quatre tours. Il faudra patienter jusqu’à la fin du mois de juin pour connaître la prochaine équipe - président, majorité, gouvernement - qui aura la charge de conduire le pays.

L'utilisation des commentaires est désactivée pour cette note.

Ma Photo

NSthèque

  • Recherchez les plus grands discours prononcés par Nicolas Sarkozy.

    Cliquer ici

    NSthèque du réseau Nouvelle Société

     

L'actualité de l'UMP